Sébastien et Jonathan, un duo de choc sur le chantier

Depuis le 1er septembre 2023, une nouvelle fonction est assurée par nos équipes sur le chantier : technicien, surveillant de chantier. En effet, une autre phase des travaux s’est amorcée avec l’entame des parachèvements et techniques spéciales (maçonnerie, cloisonnement, plafonnage, sanitaires, etc.). Celle-ci est directement coordonnée par le CHwapi. 

Pour orchestrer les missions des différents sous-traitants sur le terrain, nos experts sont allés piocher les ressources en interne, du côté de l’équipe maintenance et du service biotechnologique. Jonathan Parmentier et Sébastien Maertens sont désormais « les yeux et les oreilles de notre institution sur le chantier. » Mais aussi… les jambes ! « Nous parcourons toutes les zones du chantier pour superviser les travaux en cours. Notre mission est de surveiller que tout avance comme prévu, mais aussi d’intervenir ponctuellement pour régler des soucis techniques, d’organiser les missions des sous-traitants pour maximiser le respect du planning ou assurer la logistique. En moyenne, nous faisons 22.000 pas par jour », sourient les deux collègues.  

Pour illustrer ce en quoi consiste leur rôle, Jonathan et Sébastien détaillent que « si une technique est non conforme aux plans ou ne correspond pas aux cahiers des charges, nous intervenons auprès de l’entreprise pour que les ouvriers ajustent le tir. Si un sous-traitant ne respecte pas les consignes de sécurité sur le chantier, nous mettons son avancée en suspens afin qu’il fasse le nécessaire. 

Et pour d’autres problèmes, si nous avons les compétences techniques en interne pour les solutionner, nous intervenons directement ou nous en référons aux responsables maintenance de l’Union. Cela a été le cas récemment avec un bus TEC qui ne parvenait pas à tourner depuis le Boulevard Lalaing vers la rue de Barges – une zone où le chantier cause quelques soucis de circulation. Nous avons pris l’initiative de déplacer nous-mêmes les éléments pour faciliter son passage.” 

« Un projet qui n’arrive qu’une fois dans une vie »

Au moment d’évoquer leur évolution au sein du CHwapi, Jonathan et Sébastien se souviennent. « Je suis arrivé en 2010, à la Dorcas, en qualité d’électricien. Puis, j’ai appris sur le tas et désormais je suis encore plus polyvalent », commence Jonathan. « De mon côté, je suis arrivé en 2008 en tant que biotechnicien sur le site Notre-Dame, la fusion des hôpitaux tournaisiens n’avait pas encore eu lieu », se remémore Sébastien. « Cette nouvelle expérience est une opportunité, une chance. C’est vraiment très intéressant, j’apprends tous les jours. » Son binôme est sur la même longueur d’ondes. « C’est une satisfaction de travailler sur un projet qui n’arrive qu’une fois dans une vie. On a le sentiment de jouer un rôle-clé. »