Au quartier opératoire, on se prépare pour l’emménagement
Les choses se précisent pour les équipes du quartier opératoire. Aujourd’hui, son activité est répartie sur nos trois sites. Dans un avenir de plus en plus proche, tout sera centralisé dans le quartier opératoire unique.
« On avance, on se prépare ! », annonce d’emblée Marie-Elise Lepoutre, coordinatrice des quartiers opératoires. Au programme des dernières semaines : préparer les équipes à l’emménagement, prévu d’ici quelques semaines. L’un des piliers pour réussir la période de transition actuelle est notamment d’organiser – pour les équipes – des visites dans leurs futures installations. « L’occasion de se rendre compte des volumes, de visualiser « en live » les différents flux (patients, collaborateurs, logistique) mais aussi de découvrir les salles d’opération qui sont déjà bien avancées. »
Après 8 séances et 120 participants, le bilan est positif et les retours constructifs. « La grande satisfaction que nous avons, c’est que chacun joue le jeu. Chirurgiens, anesthésistes, infirmiers, logisticiens, pharmaciens, équipe logistique, techniciennes de surface… tout le monde vient visiter avec son prisme, ses questions et ses remarques. »
Les questions les plus posées sont pratico-pratiques : où sera situé l’hôpital de jour, les urgences, les différents services par rapport au quartier opératoire ? Où sera stocké le matériel et comment sera-t-il acheminé ? Combien de places sont prévues dans notre salle d’attente, en salle de réveil ? Et d’autres plus liées à la vie quotidienne : où se trouveront les vestiaires ? la salle de détente ?
Clou du spectacle, la première salle d’opération est presque prête. « Nous passons des plans en deux dimensions, à la 3D ! Toute l’équipe se projette, s’implique, analyse, expérimente, émet des remarques. Il y a une vraie émulation qui se crée. »
Et c’est tant mieux, puisque l’activité opératoire du site Union sera délocalisée dès le mois d’octobre 2025 dans les nouveaux locaux, afin de permettre les transformations de l’aile actuelle qui permettront d’accueillir à terme l’activité opératoire des sites IMC et ND au premier semestre 2027.